vendredi 31 mai 2013

Deux pyramides de cristal dans le Triangle des Bermudes !

pyramide-bermudesAvec la technologie actuelle, l’homme peut partir à la découverte des 70% de la Planète les plus inaccessibles, les fonds marins. Et régulièrement, les surprises sont de taille ! Dernière en date, et pas des moindres: deux gigantesques pyramides faites d’un matériau similaire à du cristal au beau milieu du Triangle des Bermudes.
Si ces deux pyramides avaient originellement été découvertes par Ray Brown, docteur en naturopathie, en 1968, par « accident », c’est bien le Dr. Meyer Verlag qui, grâce à un sonar, a identifié ses deux énormes pyramides – plus de trois fois la Pyramide de Khéops en Égypte – gisant à plus de 2 000 mètres de profondeur.
Et comme si le simple fait de trouver des pyramides sur des fonds marins ne suffisait pas, celles-ci s’avèrent être faites d’un matériau ressemblant grandement à du cristal, leur conférant des propriétés très intéressantes mais encore méconnues. Que de telles sculptures architecturales se retrouvent dans le Triangle des Bermudes ne fait qu’ajouter une bonne dose d’inconnu à cette découverte.
B. Meyer croit cette découverte pourrait enfin faire toute la lumière sur les secrets du Triangle des Bermudes, c’est-à-dire, les  nombreuses et mystérieuses disparitions qui lui sont associées.
pyramides-2
Dans sa conférence de presse dans les Bahamas, le scientifique a donné un rapport avec les coordonnées exactes des pyramides, ainsi que des cartes et… une photo ! (ci-dessus). De plus, l’océanographe a déclaré que la technologie est inconnue de la science moderne.
Peut-être qu’une étude plus détaillée donnera des résultats qui nous seront difficiles à imaginer.
bermude
Le Triangle des Bermudes est une zone de l’océan Atlantique qui serait le théâtre d’un grand nombre de disparitions de navires et d’aéronefs. De nombreuses légendes existent à propos de cette zone.
 
source:bio/sport

jeudi 30 mai 2013

mercredi 29 mai 2013

Les nationalistes sont le dernier recours de l'Europe à l'agonie!



Interview d'un résistant anti-émeutes en Suède:

Voici la traduction d’une interview d’un résistant suédois.

Que s’est-il passé ? Pourquoi les personnes se sont-elles rassemblées de cette manière ?

Une demande a été diffusée
afin de voir les personnes se rassembler à Stockholmsmässan, dans le sud de Stockholm. Toute personne motivée est appelée à participer, ce qu’ont fait plus de cent personnes.

Cependant, la police est arrivée très rapidement. Nous avons voyagé en voiture et nous sommes rendus dans différentes banlieues de Stockholm où nous savons qu’il y a des émeutes d’immigrés. Nous sommes entrés en contact direct avec des émeutiers à Storvreten dans le quartier de Tumba (sud de Stockholm) et certains émeutiers qui jettent des pierres ont été affrontés physiquement.


Qu’est-il arrivé durant la confrontation ?

Nous étions 150 face à 30 émeutiers qui nous ont jeté des bouteilles et des pierres. Lorsqu’ils ont réalisé qu’ils ne font pas le poids, ils ont fui, mais certains n’y sont pas arrivés.


Quel était le moral de ceux qui ont rejoint le comité de vigilance ?

Les personnes avaient un très bon moral et étaient contentes de solutionner les problèmes que la police ne peut pas résoudre. Durant tous les combats, chacun criait « Notre ville, notre pays ! ». La police à Tumba nous a promis de nous laisser passer si nous quittions l’endroit. Ils ont réalisé qu’ils ne pouvaient pas nous contrôler.


Pensez-vous que les gens vont se réunir ainsi d’autres fois ? Avons-nous seulement vu le début d'un phénomène ?

Il y a déjà une heure et un endroit fixé pour le rendez-vous de ce soir.

Quel est votre but ?

Repousser les étrangers et sécuriser l’existence des Suédois.
Les délires des culs bénits

La mort héroïque de Dominique Venner a provoqué une vague de haine chez les grenouilles de bénitiers.

Certains de ces tarés se sont exprimés dans Rivarol (24 mai). Ils déversent dans les colonnes de ce journal, qui accueillent décidément le meilleur et le pire, leur venin de fanatiques sectaires, dont les délires sont comparables à ceux des zélotes des deux autres religions monothéistes. Ce sont de grands malades. Ils signent François Berger (« son action ne peut être défendue ni justifiée »), Pierre Labat (« un acte lâche, odieux (…) qui inspire le plus profond dégoût » (…) Venner meurt comme il a vécu : de manière lâche et pitoyable »), Nicolas Bertrand (« les chrétiens s’indignent du sacrilège de son acte », c’est « une forme d’abandon », une « tradition non européenne »). Ce minable n’a à l’évidence aucune connaissance de la tradition européenne (des Romains aux Berlinoises se tuant pour échapper aux Rouges), ce qui est normal puisque la sienne vient des bords du Jourdain.

En tout cas, notons soigneusement le nom de ces cloportes.

Pierre Vial

mardi 28 mai 2013

Européens, nous sommes en guerre ! Par Yann Vallerie

De Stockholm à Londres en passant par Paris ou Athènes, le temps est désormais venu d’ouvrir les yeux et de mettre des mots sur ce qu’il se passe aujourd’hui en Europe : nous sommes en guerre.
Cette guerre a été déclarée non par nous, peuples d’Europe, mais par nos gouvernants, politiciens et grandes multinationales, qui ont sciemment contribué, depuis des dizaines d’années, à pourrir le fruit Europe.
Ils ont décidé sans nous consulter de mettre en place une immigration massive, destructrice de nos identités et de nos acquis économiques et sociaux.
Ils ont accepté sans broncher l’influence grandissante de cultures étrangères partout en Europe. Ils ont accepté de tout leur donner pour ne pas provoquer leur colère. Ils ont décidé que nous devions devenir des esclaves sur nos propres terres.
Ils ont accepté de vendre nos pays, nos institutions, aux marchands nomades qui sillonnent le monde, se sentant partout chez eux.
Ils ont décidé, afin de nous ôter définitivement toute racine, tout humanité, de mettre en place une politique de destruction des racines et de la famille. Afin de faire de nous demain des simples robots.
Mais le produit de leurs folles décisions est en train aujourd’hui de leur échapper totalement. Ils n’ont plus le contrôle.
Ils n’ont pas pu empêcher l’assassinat en plein jour et en pleine rue, à Londres, d’un militaire par deux islamistes fanatiques, alors qu’ils prétendent combattre l’islamisme partout dans le monde (sauf chez nous)
Ils nient le caractère ethnique des émeutes de Stockholm aujourd’hui, hier de Paris et de Londres, aidés en cela par des médias aux ordres. Mais à l’heure d’Internet, tout le monde peut voir que les émeutiers, ceux qui saccagent, pillent, violent, ne sont pas majoritairement européens.
Ils vendent quotidiennement notre patrimoine aux puissances pétrolières arabes, rendant des populations entières dépendantes de nos ennemis.
Ils n’ont pas voulu mettre en place des barrières douanières qui protègeraient l’ensemble des européens de la guerre économique que nous mènent la Chine notamment.
Ils cherchent par la force s’il le faut à contenir tout mouvement de révolte populaire en Europe (des gazages des manifestations pour la défense de la famille en France, à la répression féroce contre les manifestation anti-austérité en Grèce).
Eux qui sont si prompts à donner des leçons à d’autres civilisations, d’autres pays, et même à y financer la guerre civile quand il le faut.
Ils n’ont plus le contrôle, et aujourd’hui, en voulant cadenasser par la force, l’amalgame et le dénigrement la révolte de leurs propres peuples, la haine qui monte et la colère qui gronde chaque jour un peu plus, ils abattent leurs dernières cartes, avant de s’effondrer.
Dominique Venner, éveilleur de peuple, historien et journaliste au service des peuples européens depuis toujours, avait bien compris cela, depuis longtemps déjà.
Son dernier geste héroïque à Notre Dame de Paris, un mardi, jour du dieu de la guerre Mars, , a sonné les cloches annonçant la fin de la récréation.
La fête est terminée. Européens, si vous voulez la paix demain, alors préparez vous à la guerre.
Yann Vallerie

vendredi 24 mai 2013

The Plan 


These days we all know that Muslims riot in Sweden. They have rioted in other parts of Europe too, mainly in France and in England. For all we know it is more common and has happened more often than we have been told.
Why is this happening?
In short it’s like this; first the Jews spread feminism to reduce the birth rate in Europe. Then they argued that we had to import non-European immigrants to compensate for the lack of population growth in Europe. Then the Jews executed several terrorists attacks on American and European soil and put the blame on the Muslims, and they used the same Mossad-lead terrorists to attack regimes in several other countries (Libya, Syria). They made Europe respond by attacking Muslim countries (not by chance those who are the most anti-Israel [Afghanistan, Iraq, Libya and Syria]), which of course was another great excuse for them to make us accept a further few million «poor (Muslim…) refugees» from these wars.
As we all know the huge Muslim population in Europe work as leverage for the Jews to make us all side with the Israel. How can we not? We have these sub-human nut-case Muslims living all around us, semi-animal scum in every corner of our countries, raping our women, robbing our old and young, stabbing and beating up young men, and now even murdering British soldiers in the street and burning down half of Stockholm! Why would we not side with the Jews and Israel in this situation? Obviously they are right when they want to fight their Muslim neighbours!
If we side with the Jews they will strengthen their already strong grip on Europe; they will do as they please in the Middle East, meaning they will take everything they want from their neighbours (and they want everything from the Mediterranean all the way to the Euphrates or even the Tigris (both in Iraq). They will use Europeans as cannon fodder to achieve this, of course.
In Europe they will turns us all into debt slaves, and in effect make us their possessions; real slaves. They will feed us only with genetically modified food (that they have patented) and gain monopoly on all food production and distribution. So if you protest against their tyranny, you will starve to death. They will drug us and make money from doing so, using “Vaccines” and their pharmacy industry and lobby to achieve this. They will use Europe as a slave colony for Israel! They will also destroy all our will and ability to resist the rule in the future by mixing us with other races, leaving us without any nationalistic feelings whatsoever and destroying our intelligence. Europe will slowly but surely die, rot from within, and cease to be. They will then erase our history and write a new history for Europe, like they have done with Palestine, Egypt and the Middle East. We will no longer worry about Muslims raping us, robbing us or even killing us. We will be destroyed completely.
What we need to do, instead of siding with the purely evil Jews, is to fight both the Muslims – low-brow, low-tech aggressors trying to take over Europe – and the Jews, but we must focus our aggression on the Jews first. We must wait, though, and let things become much worse than they already are before we do anything. We need the European masses on our side, and they will not wake up from their by Jews drug-infused sleep until things get even worse. If you do act only do so in a a way that will make common Europeans side with our cause!
The Jews forget that if the current trend continues Europe will not work any more, the trains and buses will not run, the food will not be distributed, the hospitals will not work, the police, the fire departments and so forth; nothing will work like it should when more non-Europeans pour into our countries and when more Europeans mix with non-Europeans, because only a country with a European majority works as well as Europe does today! The more racially mixed a country is, the less efficient it becomes in all ways. As Europe becomes less and less efficient we will also become poorer and poorer, and thankfully; poverty – when our European children starve – is probably the one thing that will make the masses wake up and revolt!
Prepare for the worst. Prepare for war. Prepare to defend Europe! Make lists of our enemies, but of course only if this is legal in your country, and keep them to yourself. Be ready to move in and fix the leaking roof and to mop up the floor afterwards! 
HailaR WôðanaR!
 
Source: ancestral cult
By Varg Vikernes
L'assassinat de Londres, les émeutes de Stockholm, les émeutes du Trocadéro etc...
La guerre raciale a débuté, mais les blancs ne se défendent pas encore!

L'heure tourne...
Zecharia Sitchin


Zecharia Sitchin nous a quittés en 2010, après plus de trente ans de recherches approfondies autour d’une unique découverte : la mythologie sumérienne fut l’héritière d’un authentique savoir scientifique et historique transmis par des êtres qui ne sont pas nés sur la Terre. Les textes les nomment Anunnaki (« Ceux qui du Ciel sur Terre vinrent »).
Voilà la trame révélée par les textes et les épopées dont Zecharia Sitchin a exploré et validé les moindres détails en une lecture toujours « interdite » : l’homme sur Terre est-il prêt à se confronter à « sa » vérité bouleversante ?

Il existe un douzième corps céleste au-delà de Pluton dans le système solaire (en comptant le Soleil et la Lune) et cette planète est habitée.


Zecharia Sichin, dès 1976 reconstitue la genèse véritable des hommes. Avec CosmoGenèse, il entreprend d'en rapporter les preuves scientifiques.

• Les Sumériens décrivent l'existence d'une douzième planète en plus des dix autres (avec le Soleil et la Lune), habitée par les Anunnaki venus coloniser la Terre dans un très lointain passé. Ils décomptaient déjà neuf planètes, quand l'astronomie moderne n'a " découvert " la neuvième, Pluton, qu'en 1930.

• Les théories modernes de la formation de la Terre et de sa " Lune " valident le " scénario " des collisions multiples décrites par les scribes sumériens.

• L'astronomie sumérienne décrit Neptune comme une géante " vert-bleu ", aquatique : Voyager 2 en a rapporté la preuve en 1989 !

• Les étapes bibliques de l'apparition de la vie sur Terre, illogiques jusqu'alors, trouvent leur confirmation dans la réévaluation scientifique actuelle des biologistes.

• Les deux " genèses " expliquent la création de l'homme et le décryptage récent de l'ADN la corrobore : l'homme est apparu " soudain " sur Terre !

La science officielle sait qu'elle ne fait que redécouvrir un savoir légué par nos premiers ancêtres. Mais elle le nie farouchement par peur des conséquences d'une telle révélation. Et vous, êtes-vous prêt ?


source: fr éternelle
Burzum:  Sôl austan, Mâni vestan


Genre : Ambient
Honneur à Dominique Venner!
Un héros au Walhalla!

Depuis la mort de Dominique Venner, des tonnes de messages de haine circule sur le net de la part de ces pourritures d'antifas, de catho tradi, des politiques genre les ramassis de merde du front de gauche etc...
On peut bien voir de quel côté est la haine!
Dominique Venner a fait un geste héroïque pour que les jeunes Européens de souche se révoltent contre la décadence de cette société, contre le remplacement de population que nous subissons...
Son geste et ce pourquoi il l'a fait ne doit JAMAIS être oublié!
Quant à ces putes de femen, (et je pense à l'autre pétasse hystérique qui s'est rendu devant la cathédrale le jour même de la mort du héros Dominique Venner)  avec leur slogan "va en enfer", elle ferait bien de faire très attention maintenant et d'être entouré des farces de l'ordre antifrançais, car maintenant les nationalistes ne seront plus du tout complaisants avec elles, qu'elles se le tiennent pour dit!
Ordre Odiniste.






mercredi 22 mai 2013



Je suis sain de corps et d’esprit, et suis comblé d’amour par ma femme et mes enfants. J’aime la vie et n’attend rien au-delà, sinon la perpétuation de ma race et de mon esprit. Pourtant, au soir de cette vie, devant des périls immenses pour ma patrie française et européenne, je me sens le devoir d’agir tant que j’en ai encore la force. Je crois nécessaire de me sacrifier pour rompre la léthargie qui nous accable. J’offre ce qui me reste de vie dans une intention de protestation et de fondation. Je choisis un lieu hautement symbolique, la cathédrale Notre Dame de Paris que je respecte et admire, elle qui fut édifiée par le génie de mes aïeux sur des lieux de cultes plus anciens, rappelant nos origines immémoriales.

Alors que tant d’hommes se font les esclaves de leur vie, mon geste incarne une éthique de la volonté. Je me donne la mort afin de réveiller les consciences assoupies. Je m’insurge contre la fatalité. Je m’insurge contre les poisons de l’âme et contre les désirs individuels envahissants qui détruisent nos ancrages identitaires et notamment la famille, socle intime de notre civilisation multimillénaire. Alors que je défends l’identité de tous les peuples chez eux, je m’insurge aussi contre le crime visant au remplacement de nos populations.

Le discours dominant ne pouvant sortir de ses ambiguïtés toxiques, il appartient aux Européens d’en tirer les conséquences. À défaut de posséder une religion identitaire à laquelle nous amarrer, nous avons en partage depuis Homère une mémoire propre, dépôt de toutes les valeurs sur lesquelles refonder notre future renaissance en rupture avec la métaphysique de l’illimité, source néfaste de toutes les dérives modernes.

Je demande pardon par avance à tous ceux que ma mort fera souffrir, et d’abord à ma femme, à mes enfants et petits-enfants, ainsi qu’à mes amis et fidèles. Mais, une fois estompé le choc de la douleur, je ne doute pas que les uns et les autres comprendront le sens de mon geste et transcenderont leur peine en fierté. Je souhaite que ceux-là se concertent pour durer. Ils trouveront dans mes écrits
récents la préfiguration et l’explication de mon geste.

Dominique Venner

mardi 21 mai 2013


La civilisation minoenne viendrait d'Europe 


© Crédits : Dorieo
Une étude génétique révèle que la civilisation minoenne serait originaire d'Europe, et non d'Egypte ou du Proche-Orient comme cela a longtemps été supposé. 

D'où viennent les Minoens, ce mystérieux peuple qui a peuplé la Crète jusqu'en l'an 1400 avant notre ère, avant de disparaître dans des conditions encore mystérieuses (l'éruption du volcan Santorin en serait peut-être l'une des causes), laissant derrière lui les vestiges d'une civilisation parmi les plus raffinées de l'Antiquité ? Pendant longtemps, la thèse qui a prévalu était que les Minoens venaient d'Égypte : chassés de cette région il y a quelque 5000 ans à cause d'une invasion venue du Sud de l'Égypte, ils auraient été contraints de migrer vers le nord de la Méditerranée, arrivant alors dans les îles de la Mer Egée, dont la Crète. Une hypothèse avancée au début du siècle dernier par Sir Arthur Evans, auteur de la découverte des palais crétois (dont le célèbre palais de Minos, à Cnossos), en raison de la mise au jour en Crète d'artefacts analogues à ceux produits par les Égyptiens de l'Antiquité.
Plus récemment, d'autres théories ont vu le jour. L'une d'entre elles avance que les Minoens sont issus de migrations venues d'Afrique du Nord ou du Proche-Orient, mais les éléments archéologiques découverts jusqu'ici n'ont jamais permis d'étayer cette hypothèse.

La thèse la plus récente postule que toute la région de la mer Égée était à cette époque habitée par un peuple, dit "égéen", qui serait à l'origine de la civilisation minoenne. Toutefois, cette hypothèse n'avait jusqu'ici jamais pu être confirmée. 
Or, une étude génétique menée par George Stamatoyannopoulos, un généticien de l'Université de Washington (Seattle, États-Unis), suggère que la civilisation minoenne descend bel et bien d'un peuple déjà implanté sur place, dans la région de la Mer Egée, et non d'une colonisation venue d'Égypte ou du Proche-Orient.
Pour parvenir à ce résultat, George Stamatoyannopoulos a analysé l'ADN mitochondrial (pour mémoire, l'ADN mitochondrial se transmet de la mère aux enfants de façon quasiment inchangée, ce qui permet de reconstituer l'ascendance maternelle d'un groupe d'individus) de dents et d'ossements provenant d'une centaine d'individus ayant habité en Crète il y a 4400 ans à 3700 ans. Soit, en d'autres termes, de Minoens... Résultat ? Le généticien a identifié chez ces Minoens 15 marqueurs mitochondriaux que l'on retrouve aussi dans le génome de la population européenne moderne, ainsi que dans le génome des populations européennes de l'Age de Bronze et du Néolithique. En revanche, aucun marqueur mitochondrial commun à celui des populations modernes d'Afrique du Nord n'a été retrouvé dans l'ADN des Minoens étudiés par George Stamatoyannopoulos. 
Une découverte qui renforce donc de façon décisive l'hypothèse selon laquelle la civilisation minoenne est issue d'une population "égéenne", qui était déjà implantée sur place. Et invalide notamment la théorie de Sir Arthur Evans selon laquelle les Minoens venaient d'Egypte (George Stamatoyannopoulos a d'ailleurs expliqué à la revue Nature que l'une de ses motivations avait précisément été de tester la validité de la thèse de Sir Arthur Evans sur l'origine égyptienne des Minoens, longtemps considérée comme vraie par la communauté scientifique.
Et ce résultat est d'autant plus intéressant qu'il peut être recoupé avec des découvertes archéologiques effectuées en Crète dans les années 1980, lesquelles avaient révélé que des agriculteurs vivaient en Crète et dans les autres îles de la Mer Egée dès 7000 ans avant notre ère.
Si, à l'époque, il était déjà tentant de supposer l'existence d'un lien entre ces agriculteurs du Néolithique et les Minoens, aucun élément scientifique ou archéologique ne permettait toutefois d'affirmer que les Minoens étaient bel et bien les descendants de ces agriculteurs du Néolithique établis dans les îles de la Mer Egée. Mais avec le résultat de George Stamatoyannopoulos, cette hypothèse vient de prendre un poids considérable!
Source: sott.net
 
Histoire de la civilisation minoenne rajouté dans dossiers.
Stonehenge occupé 5000 années plus tôt qu'on ne le pensait
 
De récentes fouilles ont révélé que la zone de Stonehenge était occupée 3000 ans avant sa construction. 

Des traces d'occupation humaines 3000 ans avant la construction de Stonehenge...

La fouille archéologique, à environ 1.5km des pierres, a révélé que des gens étaient installés là en 7500 avant JC. 

Les résultats, révélés par des bénévoles et un petit budget, sont de 5000 ans plus tôt qu'on ne le pensait précédemment. Le Dr Josh Pollard, de l'Université de Southampton, a déclaré que l'équipe avait "trouvé la communauté qui a mis en place le premier monument à Stonehenge". 


La "tâche aveugle" archéologique. 

Le projet à petite échelle a été menée par l'archéologue David Jacques, de l'Université ouverte. 
Il a d'abord repéré le site d'Amesbury sur des photographies aériennes, en tant qu'étudiant. Les photographies, provenant d'une archive de l'Université de Cambridge, ont montré un site connu, le camp de Vespasien, à seulement 1.5km de Stonehenge. 



La première photographie aérienne de Stonehenge prise en 1906.
Il était supposé avoir été complètement aménagé au 18ème siècle, mais M. Jacques a réalisé que ce n'était pas le cas et à décidé d'enquêter: "Le paysage tout entier est plein de monuments préhistoriques et cette découverte est extraordinaire dans le sens où elle était, depuis tout ce temps, une tache aveugle archéologique. Mais en 1999, un groupe d'amis étudiants et moi-même avons commencé à fouiller ce domaine d'Amesbury." 

Le site, qui contient une source naturelle, est la source d'eau douce la plus proche de Stonehenge. Et M. Jacques, en supposant qu'elle a pu servir d'approvisionnement en eau, a estimé qu'il pourrait y avoir un ancien site archéologique attendant d'être découvert. "Mon idée était que là où l'on trouve des animaux sauvages, on a tendance à trouver des gens, probablement des groupes de chasseurs cueilleurs." Et il avait raison. 
Au cours des sept dernières années, le site a révélé les plus anciennes installations semi-permanente dans la zone de Stonehenge, de 7.500 à 4.700 avant JC. 
Et la datation au carbone des matériaux trouvés sur le site montre que des gens étaient là au cours de chaque millénaire: «Ici, nous sommes dans un petit coin en bas d'une colline où coule une rivière ,et il y a eu probablement plus de gens qui y sont venus au cours de la période mésolithique qu'au cours des période suivantes», at-il dit. 

La partie visible de l'iceberg. 

Bien que ce soit un projet au financement limité, il suscite déjà l'intérêt d'autres archéologues de premier plan. Le professeur Peter Rowley-Conwy, de l'Université de Durham, a ainsi déclaré: "Le site a le potentiel pour devenir l'un des sites mésolithiques les plus importants en Europe du nord-ouest." Et le Dr Pollard, du projet Stonehenge Riverside, a déclaré "que la probabilité de démontrer qu'il y avait des visites répétées dans cette zone du 9e au 5e millénaire avant J.-C." était significative. "Je pense qu'il a trouvé la partie visible de l'iceberg en termes d'activité Mésolithique en se concentrant sur l'Avon, qui est aujourd'hui Amesbury", a-t-il dit. 
source: bbc, fr éternelle
News:

Le site de Terre et peuple Bourgogne a été rajouté dans les liens:

http://terreetpeuplebourgogne.blogspot.fr/

Au passage nous les remercions chaleureusement pour la pub faite sur leur site, Terre et peuple est un réseau ami.

Nous avons également rajouté le site de fiertés européennes qui nous a également mis en liens et saluons Kurgan.

http://fierteseuropeennes.hautetfort.com/

Dans les news également un nouvel article a été mis sur l'excellent site anti-Femina!

ANTI-FEMINA:

http://anti-femina.over-blog.com/

Et nous saluons l'administrateur du blog!

mercredi 15 mai 2013

Midsommar 2013


Après-midi , confection d'un bûcher, début de soirée début des festivités.

Bogowie Slowian - Les Slaves et le Paganisme

Bogowie Slowian - Les Slaves et le Paganisme.jpgWATRA est une organisation Polonaise de Wroclaw qui a pour but de faire découvrir ou redécouvrir la religion ancestrale et originelle des Slaves, mais également de défendre et de faire reconnaître celle-ci par les autorités.
Forte de ses nombreux adhérents, WATRA  a su s’imposer comme une valeur sûre pour la survivance du paganisme en Pologne… et, ce faisant, se faire l'égale des plus grandes organisations rodnover des autres pays slaves. 
Deux de ses membres sont également auteurs d'ouvrages ayant trait aux Dieux et pratiques anciennes du peuple slave. Le premier, intitulé : Rodzima Religia i Filozofia, a été écrit par Rafal Merski, fondateur et prêtre de l’organisation. Le second : Bogowie Slowian (Les Slaves et le Paganisme) a été écrit par Wieslaw Jagodzik, polonais vivant en France et membre de WATRA.
Ce livre, écrit en français (fait rarissime en notre pays, dont les bibliothèques ne comptent que très peu d’ouvrages sur le sujet), vous permettra de découvrir une religion souvent mal connue… en abordant tout autant l’histoire du peuple slave (de ses origines géographiques à son apparition dans les premières chroniques), que celle de ses Dieux ; la création de l’univers et de la terre, les différents rituels, les endroits sacrés ou la façon de concevoir le paganisme de nos jours…
Un ouvrage essentiel pour ce qui en est de la découverte de ce peuple et de sa foi originelle. 
 
Par ces ouvrages, WATRA espère rallumer la flamme éteinte par plus de mille ans de christianisme imposé, rassembler toujours de plus en plus de personnes autour du feu sacré et des Dieux ; leur rappeler leur identité et leur appartenance à ce merveilleux héritage légué par leurs ancêtres.
Dans un monde où les valeurs se perdent, laissons les divinités païennes reprendre la place qui est la leur… et resserrons nos liens avec une Nature trop longtemps bafouée.  
 
Pour vous procurer cet ouvrage rien de plus simple… contactez directement son auteur via l’adresse mail suivante : Wieslaw6@hotmail.fr
 
Source: fierté européenne.
 
Watra est en effet une religion Païenne très active en Pologne, ses membres font revivre le paganisme ancestral de leur peuple, et le respect de la nature ce qui est une excellente chose.
Il est clair de constater qu'effectivement, le paganisme revient en force en Europe que c'est également un vecteur d'identité de notre plus longue mémoire, propre à notre sang et à notre sol.
En Islande, Danemark, Pologne, France, Russie, Hongrie... de plus en en plus de nationalistes reviennent à l'esprit originel et au respect fondamental de la nature.
Le paganisme n'est pas mort et n'a pas été enterré par la christianisation , le paganisme est éternel au contraire des religions du désert.
Ordre Odiniste
 
 
Site internet concernant Watra, le paganisme Slave:
 

mardi 14 mai 2013

« La terre a une peau et cette peau a des maladies ; une de ces maladies s’appelle l’homme. « 
Friedrich Nietzsche

lundi 13 mai 2013

Le néo-paganisme russe contemporain
 
 
Mythes et réalités du néo-paganisme russe contemporain
Aujourd’hui, partout en Europe, des associations tentent de raviver les traditions païennes. Dans ce vaste panorama, le cas russe est l’un des plus particuliers qui soit ; d’abord à cause de l’immensité du pays ; ensuite, à cause de la répression qui a frappé tous les mouvements de réaffirmation nationale ou identitaire à l’ère soviétique. Quoi qu’il en soit, le néo-paganisme, comme tous les autres regroupements pouvant être englobés dans la catégorie du « nationalisme », tels les néo-monarchistes tsaristes, les nationaux bolcheviques ou les divers partisans d’un nationalisme fort, connaîtront indubitablement un essor considérable dans ce pays immense, plus que dans d’autres contrées du continent, si l’on excepte toutefois le culte de l’ancienne religion scandinave en Islande, où celle-ci se trouve mêlée à certains éléments d’origine moderne, comme dans le réseau « Asatru », ou la réémergence du paganisme balte en Lituanie, à l’initiative du mouvement « Romuva ».

Le voyageur curieux, qui circule dans les rues de Moscou et y visite les librairies du centre ou les échoppes de livres d’occasion ou les points de vente des magazines patriotiques, constatera la pléthore de publications qui font référence aux traditions païennes de l’antique « Rus » (nom médiéval et scandinave de la Russie). Certaines de ces publications reproduisent et commentent les travaux d’académiciens et d’historiens sérieux et établis ; d’autres reflètent l’imagination fébrile et l’inspiration toute personnelle de leurs auteurs.

Ensuite, nous trouvons des groupes qui célèbrent des rituels solsticiaux dans les nombreuses forêts qui couvrent le territoire russe, comme les adeptes de « Rodnovery » (« Foi des ancêtres »), qui érigent également des stèles à l’effigie et à l’honneur des anciens dieux slaves.

Il faut tenir compte d’un fait : à la différence des autres traditions européennes comme l’antique paganisme gréco-romain, ou des traditions celtiques ou germaniques, nous savons finalement peu de choses sur le passé de la Russie pré-chrétienne. On connaît les noms des dieux, on connaît aussi certains rituels matrimoniaux et funéraires, mais il nous manque des éléments fondamentaux que l’on retrouve dans d’autres mythologies (voir les sagas scandinaves et les cosmogonies et légendes de la Grèce antique) et qui nous permettraient de connaître avec exactitude la « Weltanschauung » des Slaves de l’antiquité. Raison pour laquelle les néo-païens russes d’aujourd’hui se voient contraints de se référer à des mythes relativement modernes pour légitimer leurs démarches.

Notre article se donne pour objectif d’analyser deux de ces mythes de référence, les plus importants, afin de voir quelle est leur influence sur les milieux païens de la Russie actuelle. Le premier de ces mythes se réfère à la découverte, à la fin des années quatre-vingt du 20ième siècle, des ruines d’Arkaïm, une ancienne cité, de petites dimensions, située dans la région des Monts Oural. Le second de ces mythes se retrouve dans le fameux « Livre de Veles », qui raconte l’histoire du peuple russe depuis la préhistoire jusqu’à la conversion au christianisme.


Arkaïm : la Cité du Soleil

En 1987, un groupe d’archéologues de l’Université russe de Tcheliabinsk se réunit pour aller récupérer des pièces éparses, trouvées préalablement sur un site, dans une vallée qui devra être inondée suite à la construction d’un barrage au sud des Monts Oural. Leur surprise fut grande quand, en travaillant, ils découvrirent les restes d’une petite cité de forme circulaire, présentant des caractéristiques inconnues jusqu’alors, du moins dans cette zone. Les mesures de datation révélèrent une ancienneté remontant aux 17ième et 20ième siècles avant l’ère chrétienne. Les archéologues russes ont calculé que la population de cette petite cité devait s’élever à environ 2500 habitants, véritable métropole pour l’époque.

La découverte fit l’effet d’une bombe non seulement dans les milieux de l’archéologie mais aussi dans les cénacles patriotiques de cette Russie, qui vivait les dernières années du régime soviétique. Immédiatement, des spécialistes proclamèrent qu’Arkaïm fut le berceau du prophète perse Zarathoustra, ce qui est au demeurant possible, en dépit des distances, si l’on tient compte du fait que les bâtisseurs de cette petite cité étaient en réalité des proto-indo-iraniens qui ont séjourné au sud de l’Oural avant de se mouvoir, avec armes et bagages, vers le sud. D’autres hypothèses conduisent les archéologues à penser que le site était un observatoire astronomique semblable à Stonehenge, mais de plus grandes dimensions.

Finalement, les autorités décident de ne pas construire le barrage et la découverte fut annoncée urbi et orbi dans tous le pays. Plus tard, les archéologues ont découvert encore plus de vestiges de petites cités circulaires dans cette région ; les archéologues baptiseront donc ce complexe du nom de « Culture de Sintashta-Arkaïm », laquelle appartient à la proto-histoire indo-iranienne. La découverte n’intéressait pas seulement les spécialistes de la science archéologique mais aussi, bien sûr, tout le petit univers des patriotes, qui après la longue parenthèse soviétique, sortait de la clandestinité et trouvait, pour justifier sa vision du monde, un argument pertinent, une preuve tangible. Une découverte, présentant de telles caractéristiques, n’échappa nullement à tous ceux qui, en marge de la récupération générale de l’orthodoxie et du passé impérial, cherchaient des références « nationalisables » sur lesquelles s’appuyer.

Arkaïm avait en fait été la capitale d’un empire aryen qui s’était étendu des plaines de l’Ukraine jusqu’au cœur de la Sibérie, la population de cet empire était slave, et, enfin, dans les textes antiques sacrés tels l’Avesta perse ou le Livre de Veles ,l’existence d’un centre comme Arkaïm est mentionné.
Actuellement, Arkaïm est l’un des sites archéologiques les mieux conservés en Russie aujourd’hui, même si chaque année des centaines de touristes et de curieux s’approchent du lieu, tandis que les archéologues continuent leurs fouilles dans les environs à la recherche de nouveaux indices. Le 16 mai 2005, le Président russe Vladimir Poutine a visité le site et s’est intéressé à son bon état de conservation. L’intérêt que portent les autorités russes à ce site est important pour que les vestiges demeurent bien conservés.


Le  Livre de Veles


L’histoire de la découverte et de la diffusion du Livre de Veles: 
 
Tout commence en 1919. Durant la guerre civile russe, un officier de l’Armée Blanche, Izenbeck, découvre dans un manoir abandonné une série de planchettes de bois sur lesquelles figurent d’étranges inscriptions. En 1924, exilé à Bruxelles, Izenbeck confie les planchettes à Youri Mirolioubov, un autre Russe blanc en exil dans la capitale belge. Mirolioubov est paléographe et byzantiniste de profession. Il photographie les planchettes et en retranscrit le contenu. Le texte est écrit, en vieux slavon, dans une variante de l’alphabet cyrillique, influencée par les runes scandinaves.

Le texte commence par une invocation au dieu slave Veles et raconte l’histoire du peuple russe depuis environ 20.000 ans avant J.C. jusqu’à la conversion de la Russie au christianisme, au 10ième siècle de notre ère.
Le texte a été écrit par des prêtres païens entre les 5ième et 9ième siècles après J.C.
Voilà, en résumé, l’histoire, qui y est contée :
Il y a plusieurs millénaires, les plus lointains ancêtres du peuple russe vivaient en un pays riverain de l’Océan Glacial Arctique.
A cause des glaciations, ils furent obligés de se déplacer vers des zones plus chaudes au sud. Lors de cette migration, ils se sont divisés en clans et ont guerroyé contre d’autres peuples.
Les  Oriyanos , ou  Aryens se seraient portés vers la Chine, la Perse, puis la Mésopotamie, l’Egypte et le bassin méditerranéen, où ils fondèrent la ville de Troie avant d’affronter les Grecs. Plus tard, ils se fixèrent définitivement dans la plaine russe, mèneront une vie pacifique sous la houlette bienveillante de leurs dieux et de leurs monarques, ne faisant front que contre des envahisseurs comme les Goths et les légions romaines de l’Empereur Trajan.
Le reste du document évoque les rois successifs de cette Russie mythique, comme Bravline ou Bus’Beloyar, qui régnèrent jusqu’à notre haut moyen âge, soit jusqu’au moment où les Scandinaves  mettront fin à cette civilisation et créeront les conditions de la naissance de la Russie telle que nous la connaissons encore aujourd’hui.

Revenons à notre époque. Les planchettes de bois originales du  Livre de Veles  vont disparaître pendant la seconde guerre mondiale ; on parle d’une confiscation par l’Ahnenerbe allemand, intéressé à posséder toutes sortes de documents antiques ; on parle aussi d’un incendie qui les aurait détruites. Il reste donc les photographies et les transcriptions de Mirolioubov. A partir de 1957, certains membres de l’Académie soviétique commencent à recevoir des lettres d’exilés russes qui leur parlent du  Livre de Veles  et des transcriptions de Mirolioubov. On leur envoie également des copies des photos des planchettes.

Avec la chute de l’Union Soviétique en 1991, plus rien n’empêchait les fans du  Livre de Veles  de relancer la publication du texte.
Un néo-païen des plus connus, Aleksandr Asov  affirme dans des revues d’histoire et dans des programmes de télévision l’authenticité du texte, qui revêt dès lors un caractère éminemment sacré.

source:voxnr

http://eglisedewotan.org/
"Donnez vos âmes à vos dieux
et chargez vos fusils Il est temps que parle l’acier.
Nous sommes les légions
des damnés,l’armée de ceux
qui sont déjà morts…"
 
Robert Jay Mathews
.
Jeudi 23 Mai, conférence de Jean Haudry.
Contact : Ordre-odiniste@hotmail.fr

Jean HAUDRYDirecteur d’études de grammaire comparée à l’École Pratique des Hautes Études (Paris) Chronologie des reconstructions linguistiques indo-européennes
Si l’on remonte du français au latin, on trouve parmi les formes héritées des formes datables de la période romane (IIIe-Ve siècles de notre ère), comme les verbes pouvoir, vouloir, courir, mourir issus du latin tardif potēre, volēre, currīre, morīre, non du latin classique posse, velle, currere, morī, des formes qui remontent au latin classique (IIIe-Ier siècles avant notre ère), et quelques résidus antérieurs, comme l’alternance es-/s- dans la flexion du verbe être, qui remonte, à travers le latin où elle n’est plus vivante, à l’indo-européen. Il en va de même pour la reconstruction de l’indo-européen. Du latin aux langues romanes, l’évolution ne s’est pas bornée au phonétisme ; la structure même a été atteinte. Le caractère flexionnel, omniprésent dans le système latin comme dans les autres langues indo-européennes anciennes (ci-dessous § 3.2) a cédé la place à des structures agglutinantes, surtout dans le nom, mais aussi pour une part dans le verbe en français : dans la conjugaison, en face du latin am-ō, am-ās, am-at, am-ant, la forme verbale est phonétiquement invariable, la personne est indiquée uniquement par le pronom dans le français j’aime, tu aimes, il aime, ils aiment. En revanche, la structure ancienne est maintenue partiellement dans nous aim-ons, vous aim-ez.  

mercredi 8 mai 2013

8 Mai.
WERWOLF: NIEMALS KAPITULIEREN!!!

mardi 7 mai 2013

Hold Fast : Gaïa

Chaque jour qui passe la nature est attaquée,
un véritable holocauste depuis que l'homme est arrivé.
De plus en plus nombreux, l'homme détruit,
la nature mère qui pourtant le nourrit.

Chaque jour qui passe, des forêts sont rasées,
pour la cupidité de promoteurs immobiliers.
Toujours plus de béton et de villes polluées.
Toujours moins d'arbres et d'animaux en liberté.

Les rivières sont polluées par les usines et leurs rejets.
La mer est souillée, dégazage des pétroliers.
Les animaux, simples produits de consommation,
gavés aux hormones jusqu'à exécution.

Ne pleurez pas! Si la mer engloutie vos villes.
Ne criez pas! Si la nature tue vos fils et vos filles.
Ne pleurez pas! Ne criez pas!
La nature se venge et reprend juste ses droits!


Si vous ne triomphez pas, puissent vos ennemis parler avec effroi, pendant des générations, de la furie des derniers hommes du Nord!
David Eden Lane
Savitri Devi

Savitri Devi est une dame franco-grecque qui réalisa une synthèse de son admiration pour Hitler avec sa propre version personnelle de l’hindouisme. Elle était née Maximiani Portas le 30 septembre 1905 à Lyon, en France, fille d’un père grec et d’une mère anglaise. Extrêmement douée, elle devait obtenir une licence en science et un doctorat en lettres. Très tôt, elle développa de fortes sympathies et antipathies politiques, et celles-ci deviendraient les principaux déterminants de son étrange itinéraire, qui inclut l’Inde.

Evolution idéologique

Quand Maximiani fut majeure, elle opta pour la nationalité grecque, et passa plusieurs années en Grèce. En 1929, elle visita la Palestine, où elle fut témoin du conflit naissant entre Palestiniens et colons juifs ; sa sympathie alla aux premiers. L’antisémitisme était une attitude prédominante dans la France d’avant 1940, à la fois à gauche et à droite, et elle s’en était imprégnée très tôt. Amoureuse de la culture grecque ancienne, Maximiani répudia le christianisme, bien qu’en conservant le préjugé antisémite de celui-ci. Sa principale objection au christianisme était son anthropocentrisme, la doctrine selon laquelle Dieu avait confié à l’homme la domination sur toutes les autres créatures. Cette critique de l’anthropocentrisme biblique a été récemment reprise par le mouvement écologique, dont la frange radicale nie que l’humanité ait plus de valeur que les autres espèces (juste!). Maximiani rejeta l’amour de l’humanité en faveur d’un vitalisme éthique qu’elle trouva dans le national-socialisme, avec son échelle de valeurs, centrée non sur ‘l’homme’ mais sur la vie.

A partir de son idéal de l’« hellénisme », elle se réorienta vers les doctrines aryennes propagées par les nationaux-socialistes.

Depuis Charles Darwin, la culture était vue par beaucoup comme un simple effet de la qualité biologique, et par conséquent la famille des langues indo-européennes était identifiée avec la race aryenne. L’ aryanisation  linguistique de l’Inde par les aryens blancs venus d’Europe formait un cas d’école complet de tout ce que représentait la vision du monde raciste à venir :

- d’abord, les Blancs avaient exprimé leur dynamisme naturel en voyageant vers les horizons lointains, à la différence des peuples indolents à la peau sombre qui ne quittent jamais leurs rivages ;

- ensuite, les Blancs ont prouvé leur supériorité en subjuguant les indigènes à la peau sombre ;

- puis, avec leur saine conscience raciale, ils avaient tenté de préserver leur pureté raciale en imposant le système des castes à eux-mêmes et aux natifs, empêchant autant que possible les mariages mixtes entre conquérants blancs et natifs de couleur.

- mais malheureusement, un certain mélange racial eut tout de même lieu et transforma les blancs en métis à la peau brune, leurs qualités intellectuelles et militaires se détériorèrent, et ils devinrent une proie facile et légitime pour les européens qui avaient préservé leur pureté raciale.

De cette façon, la Théorie de l’Invasion Aryenne (TIA) fut la pierre d’angle de la vision du monde raciste moderne. Comme Savitri Devi le raconta elle-même :

Dans le Troisième Reich, même les enfants des écoles savaient d’après leurs livres de classe que la race aryenne s’était répandue du Nord vers le Sud et l’Est, et pas en sens inverse.
Elle développa l'idée selon laquelle la caste est un système d’apartheid racial, avec les aryens comme castes supérieures et les aborigènes comme castes inférieures.
La connexion hindoue

Utilisant l’argent que son père décédé lui laissait, Maximiani se rendit en Inde et, excepté deux brèves interruptions, elle devait y rester de 1932 à 1945, et à nouveau en 1957-60 et en 1971-81. Elle étudia l’hindi et le bengali à l’école Shanti Niketan de Rabindranath Tagore, et voyagea autour du pays. Se sentant prête à faire face à une audience indienne, elle offrit ses services en tant que prédicatrice anti-chrétienne à la Mission Hindoue de Swami Satyananda à Calcutta. En 1937-39, sous son nom hindou de Savitri Devi [ déesse du soleil , NDT] , elle fit le tour des villages tribaux et fit organiser par les chefs des débats publics entre elle et les missionnaires locaux. Parfaitement familiarisée avec la mentalité et les méthodes de ses adversaires, elle pouvait détruire le crédit de la religion importée dans l’esprit des villageois, et empêcha ou défit de nombreuses conversions.

Pour Savitri Devi, l'hindouisme était un instrument de la race aryenne.

Durant ses années de prédicatrice, elle garda ses préoccupations non-hindoues pour elle-même, mais dans ses mémoires (Souvenirs et Réflexions d’une Aryenne, Delhi 1976), elle déclara qu’elle concevait sa mission de reconversion comme un exercice de tromperie :
Du point de vue aryen raciste, il est nécessaire de donner aux aborigènes les plus arriérés et dégénérés une (fausse) conscience hindoue.

En opposition avec les nationalistes hindous, mais en accord avec les marxistes et les castéistes indiens, elle pensait que le concept de  nation  et le programme du  nationalisme  ne pouvaient pas s’appliquer à l’Inde.

Elle développa l'idée très juste qu’une nation ne peut être constituée seulement d’individus racialement similaires, non de communautés racialement distinctes, ainsi qu’elle considérait les castes.

En tous cas, elle donna son assentiment à des affirmations couramment faites dans la littérature anti-hindoue, par exemple :

- L’islam et le christianisme sont des religions d’égalité ;

- les convertis de l’hindouisme à l’islam ou au christianisme ont été attirés par l’égalitarisme sans castes de ces religions ;

- l’Inde n’est pas et n’a jamais été une nation.



La connexion national-socialiste.
Après la guerre, Savitri Devi retourna en Europe pour un  pèlerinage  dans l’Allemagne dévastée. Elle commença à distribuer des tracts pro-nazis et fut arrêtée pour cela par les autorités britanniques. Condamnée à trois ans de prison [en avril 1949, NDT], elle se lia d’amitié avec ses codétenues : d’anciennes gardiennes des sections féminines des camps de concentration.
Les souffrances des vieux nationaux-socialistes sous la répression alliée formèrent le matériel de son premier livre ouvertement national-socialiste, Gold in the Furnace [L’or dans la fournaise] (1949) : elle voyait dans la défaite de 1945 un simple test pour les vrais hitlériens, qui en sortiraient endurcis et finalement victorieux.

Savitri Devi glorifia Hitler en tant qu’ homme contre le temps  qui tentait d’affirmer les vertus  aryennes  contre la dégénérescence des temps modernes.


En 1960, après une décennie de pérégrinations, durant laquelle elle utilisa souvent son nom de jeune fille pour entrer dans des pays où  Savitri Devi  était sur liste noire, elle s’installa en France, où elle gagna difficilement sa vie comme enseignante, s’attirant occasionnellement des ennuis en exprimant en classe des négations de l’Holocauste.
Après 1969, elle eut droit à une petite pension, juste assez pour pouvoir vivre en Inde. En 1982, déjà incapable de lire ou de marcher sans aide, elle se préparait pour une tournée de conférences en tant qu’invitée du Parti Nazi Américain. En route pour les Etats-Unis, elle séjourna dans la maison d’une amie près de Londres, où elle tomba malade et mourut d’un arrêt cardiaque pendant son sommeil. Ses cendres furent transférées à Arlington, en Virginie, où le Parti Nazi leur donna une place d’honneur dans son reliquaire.

Belgique, 16 novembre 1998
revue et corrigé par ordre Odiniste