jeudi 29 novembre 2012

Soleil noir/2

Cette article fait suite au sujet concernant le soleil noir.
Un autre sujet concernant la société Vril a également été
rajouté dans Dossiers.
La force Vril est dérivée depuis le SOLEIL NOIR (Black Sun),
qui est une grosse boule de « Prima Materia »
(la base la plus primitive de la matière)
qui existe au centre
de la Terre,
donnant ainsi de la lumière aux habitants Vril-Ya (la boule
faisant office de soleil au centre de la Terre) et
émettant des
radiations dans la forme de Vril. Les Aryens sont
actuellement les ancêtres biologiques du SOLEIL NOIR.


Cette force était connue par les anciens
sous plusieurs noms, elle a été appelé
Chi, Ojas, Vril, Lumière Astrale, Forces
Odic et Orgone. Dans la discussion du
28ème degré du Rite Ecossais Ancien et
Accepté (R.E.A.A) de la
Franc-Maçonnerie appelé Chevalier du
Soleil‚ Albert Pike dit, « Il y a dans la
nature une force très puissante, avec
laquelle un homme singulier, qui pourrait
la posséder, et qui saurait comment la
diriger, pourrait révolutionner et changer
la face du monde.

Le VRIL est la force que les

Nationaux-socialistes et leur cercle
occulte ont désespérément essayé de
déployer sur le monde.


 

mercredi 28 novembre 2012

Journal de bord de l'amiral Byrd rajouté dans dossiers.
Toujour en ce qui concerne la terre creuse.

lundi 26 novembre 2012

ULTIMA THULE

Ultima Thulé était la capitale du premier continent colonisé par les Aryens.
Celui-ci s'appelait Hyperborée et était plus vieux que la Lémurie et L'Atlantide.
L'Ultima Thulé, ce pays merveilleux dans le grand Nord ou le soleil ne se couchait jamais et ou vivaient les ancêtres de la race aryenne.
Le continent Hyperborée aurait été situé dans la mer du Nord et aurait été englouti lors d'une époque glaciaire.
Ses habitants vinrent jadis du système solaire d'Aldébaran qui est l'astre principal dans la constellation du Taureau.
Ils mesuraient environ quatre mètres, avaient la peau blanche et étaient blonds aux yeux bleus.
Ils ne connaissaient pas les guerres et ils étaient végétariens.
Les Hyperboréens avaient une technologie très avancée et se servaient des "Vril-ya", engins volants que nous désignons aujourd'hui sous le nom d'ovni.
Grâce à l'existence de deux champs magnétiques inversement rotatifs, ces disques volants auraient eu des performances identiques à celle des ovni et utilisaient la force vril comme énergie (éther,prana,chi,force cosmique ou encore orgon) Vril-ya est dérivé aussi du Vril-Il akkadien qui signifie:
"semblable à la plus grande divinité" ou "égal à dieu".
Ils soustrayaient donc de l'énergie au champ magnétique terrestre. comme le font les convertisseurs à tachyons du commandant Hans Coler ou le moteur "espace quanta" développé par Olivier Crane.
Lorsque le continent Hyperborée commença à disparaître, les habitants se seraient mis à creuser des tunnels gigantesques dans la croûte terrestre avec de grosses machines et ils se seraient établis sous la région de l'Himalaya.
Ce royaume souterrain porte le nom d'Agartha ou Agarthi et sa capitale s'appelle Shamballah.
Les Perses appelèrent ce royaume souterrain "Ariana" ou "Arianne", le pays d'origine des Aryens.
Le royaume d'Agartha se serait développé durant des millènaires sous toute la surface de la terre avec des centres immenses sous le Sahara, la montagne du Matto Grosso, la montagne Santa Catarina au Brésil, le Yucatan au Mexique, le mont Shasta en Californie, en Angleterre, en Egypte et enfin en Tchécoslovaquie.
Les habitants d'Agartha sont les descendants des hommes-Dieu Aryens d'Aldébaran (Hyperborée).
Dans les légendes et les traditions de ce royaume souterrain, on rapporte qu'il y aura sur terre une troisième guerre mondiale qui prendra fin à cause de tremblements de terre et d'autres catastrophes naturelles comme le renversement des pôles qui entraîneront la mort des deux tiers de l'humanité.
Après cette dernière guerre, les habitants de l'intérieur de la terre se réuniront de nouveau avec les survivants de la surface du globe et introduiront l'age d'or millénaire (de l'ère du Verseau).

La terre est donc creuse, avec deux grandes entrées au pôle nord et au pôle sud.
D'ailleurs, aux dires des lamas tibétains et du Dalaï-lama, elle a un noyau, c'est à dire un soleil central (le soleil noir) qui confère à son intérieur un climat régulier et une lumière solaire permanente.
La vraie vie de notre planéte se passe à l'intérieur de celle-ci, ce qui explique pourquoi nous ne pouvons découvrir aucune vie sur les autres planétes de notre système solaire puisque les habitants y vivent aussi à l'intérieur.
Les entrées principales sont aux pôles et traversés par la lumière du soleil central qui crée les aurores boréales.
La masse solide occupe plus de volume à l'intérieur de notre planéte que la masse des eaux.
D'après l' explorateur des pôles Olaf Jansen, l'eau à l'intérieur serait de l'eau douce, ce qui explique que la glace de l'Arctique et de l'Antarctique n'est pas constitué d'eau salée mais d'eau douce.
Cette thèse sur la constitution de la terre est étayée par les témoignages d'autres explorateurs comme Cook, Peary, Amundsen, Nansen, Kane et l'amyral E Byrd qui assistèrent à d'étranges expèriences défiant les théories scientifiques établies.
Tous constataient que le vent s'échauffait au-dessus du 76ème degré de lattitude, que les oiseaux volaient au-dessus de la glace en direction du nord ainsi que des animaux comme les renards, qu'on trouvait de la neige colorée et grise qui , en fondant, livrait un pollen de fleurs multicolores ou de la cendre volcanique.
D'où vient le pollen de fleurs qui se trouve au Pôle Nord?
D'où vient la poussière volcanique puisque aucun volcan n'est signalé sur les cartes officielles dissponibles?

L'histoire des Hyperboréens Aryens n'est pas sans fondement, puisque, lorsqu'en 1532 les conquérants Espagnols sous la direction de Pizzaro arrivèrent en Amérique du Sud, les indigènes les appelèrent les Vicarochas (maîtres blancs).
Dans leur légende, il est question d'une race de maîtres géants à la peau blanche qui, des siècles plus tôt, descendaient du ciel avec des "disques volants".
Ces derniers avaient régné longtemps sur une partie de leurs villes et avaient ensuite disparus, après avoir promis de revenir.
Les indigènes crurent voir le retour des Vicarochas dans les Espagnols à la peau claire et leurs remirent donc, au début, leur or.
Il se passa la même chose au Tibet et dans d'autres régions de l'Himalaya.
Curieusement, toute la littérature qui traitait de ces sujets à la fin de la seconde guerre mondiale, furent interdite et systématiquement éliminée par les Alliés...

mercredi 21 novembre 2012

Le Soleil Noir et la Terre creuse.

La terre creuse
Théorie de la Terre creuse

L'un des premiers à échafauder la théorie de la terre creuse est Edmund Halley. Alors qu'il étudie les champs magnétiques terrestres, détectés par des compas, il constate que ceux-ci se décalent avec le temps. Troublé, il va passer toute une partie de sa vie à essayer d'y trouver une explication, pour finalement avancer une hypothèse ad hoc : une sorte de mécanisme interne à la Terre, constitué d'un autre "Soleil", de constellations, d'un ciel intérieur. En fait, la reproduction "en creux" du monde où nous vivons.

L'idée sera reprise en 1818 par le vétéran de guerre John Cleves Symmes Junior qui, dans une circulaire aux institutions d'enseignement, propose la théorie que la Terre est creuse, habitable à l'intérieur, et largement ouverte vers les Pôles. En 1820 il publie sur la question d'un ouvrage de fiction à la manière des Voyages de Gulliver , suggèrent que la Terre renfermant des sphères concentriques qu'il propose de les appeler les terres intérieures d'environ 800 miles d'épaisseur, avec des ouvertures (un passage que l'on appelera le "trou de Symme") aux pôles d'environ 1400 miles de diamètre, il fait en 1823 une pétition auprès du Congrès pour équiper une expédition pour tester la théorie. En 1826, il publie un autre livre qui promeuvent cette idée. Il meurt 3 ans plus tard.

En juin 1970, Palmer publie d'authentiques photographies satellite qui montrent ce qui semble être un énorme trou noir au Pôle Nord, les théoriciens de la Terre creuse du monde entier trouvent leurs croyances confirmées — et la controverse commence : la Terre est-elle vraiment creuse ? Et de tels trous existent-ils aux pôles ?

La possibilité que la Terre soit creuse, qu'elle puisse être pénétrée par des trous aux pôles Nord et Sud, et que des civilisations secrètes fluorisent toujours en son sein, a été imaginée depuis des temps immémoriaux. On raconte que le héros babylonien Gilgamesh, à la recherche de l'immortalité, avait visité un ancêtre, Utnapishtim ; dans les entrailles de la Terre ; le héros Grec Orphée tente de sauver sa femme morte Eurydice d'un enfer souterrain ; on disait que les pharaons d'Egypte connaissaient le monde souterrain, qu'il pouvaient rejoindre au travers de tunnels secrets cachés dans les pyramides, et les bouddhistes croient depuis longtemps que des millions de personnes vivent à Agharta, un véritable paradis souterrain.

Les expéditions polaires ou l'avènement de l'ère spatiale, paradoxalement, ne mettent pas complètement un terme à la théorie de la terre creuse : certaines images satellites montrent des dépressions troublantes et l'idée d'un complot visant à cacher à l'humanité qu'elle vivrait sur une terre creuse (d'où sortiraient les ovnis par des trous aux pôles) reste présente. Une conspiration qui ne serait pas parvenue à dissimuler ou maquiller ces photos donc, et dont d'autres photos des pôles ou arguments théoriques relatifs à la formation des planètes et des astres en général, ou montrant que la gravité serait nulle au sein d'une terre creuse.
                                                              source: internet
 
Les gens de notre milieu, de notre façon de penser, parlent constamment du soleil noir sans en connaître quoi que ce soit.
Certains même se le font tatouer et sont INCAPABLES de parler du soleil noir.
Pour éviter que ces gens restent dans leurs ignorance, je vais développer ici-bas ce qu'est réellement le soleil noir:
 
L'année solaire correspond aux 12 révolutions de la Lune et est divisée en 12 mois, de même que la révolution de notre soleil autour du gros soleil cental (le soleil noir à l'intérieur de la terre) est divisée en 12 parties.
La précession du mouvement conique de la terre se fait sur elle-même due à l'inclinaison de son axe, qui détermine les ères.
Selon des données, un mois cosmique dure 2155 années, une année cosmique dure environ 25860 années.
Ayant accompli ses 25860 années, la terre reçoit les derniers faibles rayons de l'ère de Poissons avant d'entrer dans l'ère du Verseau à fort rayonnement, et quitte l'ère du kali yuga (du péché).
Tous les changements d'ère ont conduit à des bouleversements politiques, religieux, sociaux et même géologiques de très grande ampleur.
Dans cette phase de transformation de l'ancien vers le nouvel âge, il doit arriver sur terre un rayon divin (ILU).
 
Les 12 runes de Sig représentent les 12 parties du soleil noir.
Le soleil noir est également associé au savoir supérieur de Thulé, dont on doit se souvenir pendant les périodes de décadences et de matérialismes afin de puiser de la force dans nos origines.

mardi 20 novembre 2012

La société du Vril / 2
Cette vidéo fait suite à la première concernant la société du Vril.
Les ovnis succeptibles d'êtres vu dans le ciel ne proviennent pas de l'espace , mais plutôt de l'intérieur de la terre.

Les Hittites :
Un peuple Indo-Européen au moyen-Orient.

Voici un documentaire sur les Hittites, un peuple Indo-Européen qui créa le plus grand empire du Moyen-Orient:
http://www.mystere-tv.com/l-empire-oublie-des-hittites-v1468.html

Ce document fait suite aux travaux rajoutés dans dossiers concernant les momies européennes du Xinjiang.


Les Européens à une époque ancienne étaient rassemblés dans une seule contrée , Thulé des Hyperboréens , puis avec le temps il y a eu des migrations , et ce même peuple c'est disloqué dans plusieurs parties de l'Europe actuelle.
Ce qui fit que certains s'installèrent dans les parties Germanique, Scandinave, latine, slave...
La langue c'est donc modifié au fil des territoires, mais a conservé dans les langues Européennes la même base, ainsi l'Anglais, le Germain, le Scandinave, L'italien , le Français...ont toutes les mêmes bases , ce sont des langues Indo-Européennes.
Les Hittites parlaient une langue Indo-Européenne, ils étaient représenté en Européen d'aprés les gravures.
Ce fut donc un peuple blanc au Moyen-Orient.
Chose qui n'est pas rare dans l'histoire , car les blancs étaient répartit à peu prés partout sur la surface du globe.
En effet l'Iran était un pays de blanc, éthymologiquement Iran veut dire pays des aryens.
En chine également ont été découvert les momies du xinjian , des momies Européennes parfaitement conservés datant du 2ème et 1er millénnaire av jc.
Il s'agit de cadavres naturellement desséchés et momifiés. On insiste en général sur le fait que les corps « ont été enterrés [...] dans les sables desséchants du Taklamakan [...]. L'environnement aride, préservant les corps et les vêtements, a permis un aperçu incomparable des vies et de l'apparence de peuples préhistoriques ».
Ces momies , sont le peuple indo-européen qui se nomme les Tokhariens.
Les Tokhariens vivaient sur ce territoires avant les chinois.


L'apparition d'autres races vient de l'effondrement de la lune tertiaire, (autour de la terre tourné plusieurs lunes il y a des millénnaires)qui créa un chaos.
Tout ceci est expliqué par les travaux d'Horbiger , qui avec un institut de recherche, recherché les origines de notre monde et des races.

PS: le contraire des langues Indo-européennes, sont les langues Chamito-sémitiques(langues arabes, juives..)


lundi 19 novembre 2012

NS, occultisme, Paganisme.

Hyperborée
Les Hyperboréens, sont un peuple du système d’Aldébaran possédant une avance technologique considérable, ils seraient à l’origine du royaume polaire Ultima Thulé qui, détruit à la suite d’un cataclysme, aurait conduit les Aryens vers l’Himalaya où ils auraient fondé un royaume souterrain, l’Agartha. C’est par leur biais que les nazis, grâce à la Société du Vril, auraient été à même de créer des ovnis.           

vendredi 16 novembre 2012

L'ATLANTIDE ET L'ILE DE PAQUES!

Ci-bas, un texte sur la civilisation Atlante.
Quant à L'île de Pâques, j'ai rajouté un texte dans dossiers.
Rappel sur l'île de Pâques:
Les statues de l'île de Pâques représentent des visages aux traits clairement caucasoïdes, donc blanc!
Comme pour les pyramides en Egypte, les Egyptiens n'ont jamais pu construirent de telles monuments, ils n'en avaient pas la technique, ce sont tout simplement des restes de la civilisation Atlante, suite à l'émigration de certains après le grand déluge.

Depuis des millénaires, de nombreuses légendes font allusion à des civilisations bien plus anciennes que celles de Sumer, de Babylone ou de l'Egypte. Des civilisations qui étaient supérieures à nous dans tous les domaines, que ça soit dans les arts, les sciences et les technologies. Parmis elles, on peut nommer les trois plus connues qui sont Thulé (-40 000 ans), Mû (-20 000 ans) et l'Atlantide (-12 000 ans). Celle qui va nous intéresser aujourd'hui est celle dont on entend le plus parler, il s'agit évidemment de l'Atlantide.

L'Atlantide ! Ce nom à lui seul évoque magie et mystère.

Ce continent fantastique aurait abrité l'une des plus prestigieuses civilisations que le monde ait connu. Les Atlantes, qui étaient en tous points supérieurs à nous, péchèrent par excès de vanité. Les dieux voulant se venger de ce peuple qui se croyait au-dessus de toutes les lois naturelles décidèrent de provoquer un cataclysme pour les faire disparaitre de la surface de la Terre, il y a de cela 12 000 ans. Depuis tout ce temps, cette terre mythique repose au fond de l'océan.

Ce récit se base sur le témoignage de Platon, qui le rapporta avec lui suite à un voyage en Egypte alors qu'il n'était encore qu'un jeune garçon.

Depuis près d'un siècle, les expéditions aux quatre coins du globes à la recherche de ce mythe n'ont cessé de continuer et peuvent se compter par centaines. Certaines d'entre elles ont fait des découvertes vraiment intéressantes. Que cela soit des ruines, des routes ou encore même des pyramides. Il est clair au vu des découvertes, qu'il y a des traces d'anciennes civilisations qui gisent par des mètres de fonds.
L'on n'est pas forcément obligé d'aller scruter le fond des océans pour trouver ces preuves d'existence d'anciennes civilisations. En effet, des constructions vraiment incroyables et dans un relatif bon état de conservation ont été découvertes sur les terres.

Puma-Punku et Tihuanaco en sont les plus fiers représentants. La construction de ces vestiges de deux cités différentes, tient tout bonnement du miracle. Les blocks qui ont été érigés pour constituer les murs de Puma-Punku pèsent parfois une centaine de tonne environ. De plus ils sont emboités les uns à côté et sur les autres au millimètre près. Il n'est même pas possible de faire passer une feuille de papier entre eux. Sans parler de la roche utilisée, la diorite qui est la deuxième roche la plus dure après le diamant, ce qui veut dire qu'il aurait fallut des lames de diamant pour pouvoir la travailler.

Tihuanaco elle, est plus connue pour la précision avec laquelle elle a été construite car elle suit parfaitement les mouvements des astres de l'époque. Il s'agissait d'un observatoire à ciel ouvert qui permettait à la civilisation qui l'a construite de connaitre parfaitement la course du Soleil tout au long de l'année et le mouvement d'autres astres. C'est d'ailleurs ainsi qu'à été daté Tihuanaco car le seul ciel qui correspondait parfaitement à celui des alignements de la structure était le ciel tel qu'il était il y a 12 000 ans de cela.

Se pourrait-il que des survivants Atlantes aient pu se rendent en Amérique Latine (continent sur lequel repose Puma-Punku et Tihuanaco) et dans d'autres parties du monde pour y laisser une empreinte avant de disparaitre dans le néant ? Des vestiges comme ceux cités plus haut sont de solides preuves que mêmes les plus réfractaires parmi vous auront du mal à dénier et qui tendent à nous faire privilégier une réponse positive à cette question. Même s'il est vrai que rien n'est moins sûr, et que de nombreuses choses restent encore à découvrir et à comprendre.

mercredi 14 novembre 2012

LES NATIONAUX-SOCIALISTES EN ANTARTIQUE.
LES NAZIS EN ANTARTIQUE histoire secret ..
L'Opération Hightjump est certainement la face cachée de l'opération PAPERCLIP qui est
l'extripation des savants et dignitaires du régime nazis vers l'amérique via le Vatican.
Au début de l'année 1946, la guerre était finit, cependant, il restait encore des nationaux-socialistes en fuite de part le monde, mais aussi des bases secrètes du III Reich. La base de Neu-Schabenland, sur le territoire allemand du même nom, en antartique existait toujours et des NS l'occupait toujours après l'armistice.
Plusieurs missions furent organisées sur ce continent afin d'y déloger les derniers soldats du Reich, sans aucun succés. Les expéditions se sont soldées par beaucoup de morts et une perte de matériel énorme. Plusieurs avions espions ne revinrent jamais du secteur de la base de Neu-Schabenland.
Aussi En 1946, le commandemant allier confia la responsabilité d'une nouvelle et colossale opération à l'amiral Richard Byrd, l'homme le plus expérimenté pour mener cette opération à l'époque. L'Amiral Richard Byrd avait déjà effectué plusieurs vol de reconnaissance au pôle nord et au pôle sud à la fin des années 20 et 30 organisant et participant à plusieurs missions aériennes dans les zone polaires en 1929, 1934 et 1939.
- 2 brise glace: le USCGC NORTHWIND et le USS BURTON ISLAND
- 2 navires citerne: le USS CACAPON et le USS CANISTEO
- 2 porte-avions: le USS PHILIPPINES SEA et USS CURRITUCK
- 2 navires cargo de soutien: le USS YANCEY et le USS MERRICK
- 2 destroyers: le USS HENDERSON et le USS BROWNSON,
- 1 sous-marin : le USS SENNET
- 1 navire catapulteur : le USS PINE-ISLAND
- 6500 hommes américains anglais et sovietiques, etc
Il n'est pas étonant de trouver des navires de guerre pour une expédition scientifique, en effet nombre de ces bateaux après la seconde guerre mondiale furent utilisés pour des expéditions par l'armée US quand il n'étaient pas vendus ou donnés à des organisations ou firmes non-gouvernementales, tranformés alors en navire de transports où autres... La Calypso du Ct Cousteau était un ancien démineur par exemple. Il est à noter que le porte-avions USS PHILIPPINE SEA était neuf.
L'expédition est décrite sur ce site officiel du pôle sud : South-pole.com (en anglais) mais relate uniquement les exploits scientifiques sur le territoire du sud. Officielement il n'y a pas eu de combats contre les NS en antartique.
Le résultat fût un fiasco sur toute la ligne. 1500 morts chez les alliers et une perte de matériel énorme. De retour aux USA par le chilie Richard Byrd dira dans une conférence de presse le 5 mars 1947 que "la menace la plus grande vient maintenant du pôle sud car ils ont observés des engins volants pouvant atteindre des vitesses impressionantes !" Voir armes secretes des nazis

L'Amiral Richard Byrd prépara l'invasion avec des forces spéciales américaines, anglaises et russes (et certainement d'autres nations) : "l'Operation Highjump".Aux USA il sera difficile de justifier à l'opinion publique et au congrès la mort de millier d'hommes en antartique avec de nouvelles opérations. Aussi le sujet sera clos. Cette opération est pourtant bien connue sous le nom de GUERRE DES PINGUINS, une fois que le gouvernement fédéral indiqua que dans ce territoire il n'y avait uniquement que des pingouins et qu'ils n'y avait aucun nazis.
Mais le 8 janvier 1956, plusieurs scientifiques chiliens revenant d'une expédition sur le continent observèrent pendant plusieurs heures des objets volants en forme de cigare et de disque dans le ciel de la zone de la mer de Weeddell. La même année 1956, une nouvelle opération militaire sera essayée par les américains : l'Operation Deepfreeze. Le résultat sera encore plus dévastateur pour l'armée US quittera se contentera de missions géographiques et de reconnaissances simples au pôle sud.
Plus tard, l'Afrique du Sud détectera deux explosions nucléaires dans la zone de Neu-Schabenland, une explosion en surface et une autre sousterraine. Les USA ont-ils utilisé la bombe sur Neu-Schabenland ?

L'idée d'une origine extraterrestre de l'homme a été envisagé de par le monde (comprend par extra-terrestre que ce n'est pas des êtres imaginaires à la Spielberg, mais plutôt des êtres humains, géants vraissemblablement) y compris par les NS et surtout par le groupe d'idéologues qui donnèrent naissance au mouvement hitlérien, des gens comme Alfred Rosenberg, Rudolph Hess, Karl Haushofer et consort ainsi que ceux de la Loge Lumineuse et de la société de Thulé. Cette idéologie est exclusive et eugéniste puisqu'elle affirme que les Aryens proviennent d'une race plus noble de géants, les Hyperboréens, qui sont les fils des étoiles, une race extraterrestre aux pouvoirs divins. L'une des publications les plus intéressantes sur le sujet est l'œuvre de Wilhelm Landig, “ Götzen Gegen Thule ” publiée en 1971 à Hanovre par Hans Pfeifer Verlag.
L'auteur, sous forme de fiction, affirme que la trame et les faits de son roman se basent sur des éléments réels, tangibles et historiques. L'histoire raconte les mésaventures de deux pilotes allemands à la fin de la deuxième guerre mondiale qui rejoignent le dernier cercle des vrais combattants de la SS; non la Waffen SS des fonctionnaires et gestionnaires de Himmler mais une SS mystique, rebelle et combattante, en relation avec une race extraterrestre. Ce dernier carré de guerriers soutenus par des admirateurs canadiens et américains possèdent une base souterraine sophistiquée et très étendue aux frontières du cercle polaire Arctique, le "Point 103" ainsi qu'une technologie de loin supérieure à la technologie humaine. Pour preuve, l'appareil qui permet de ravitailler la base 103 est un V7, un appareil à décollage vertical issu des Black Project de la SS, sorte de disque volant qui est constitué par une sphère entourée de lames rotatives et décorée, non des emblèmes habituels de la Luftwaffe mais de l'insigne du Soleil Noir (ce V7 aurait existé au moins dans les cartons à projets des SS en Tchécoslovaquie).

On y parle aussi d'Ovnis organiques, vivants et intelligents, les Manisolas, des appareils qui, de pure lumière, deviennent sexués et métalliques par une série de transformations opérées en 7 phases successives. Derrière ces histoires qui reprennent des thèmes chéris par adeptes des Ovnis nazis et des bases souterraines, nous découvrons une mystique très proche des fidèles de la société de Thulé: Uranos, le seigneur de l'ordre cosmique est également le seigneur du paradis originel des Aryens qui est situé au Pôle Nord, lieu d'origine de la vraie lumière (et non l'Est comme le voudraient d'autres traditions). Le fils dévoyé d'Uranos, Saturne, a fait don à l'humanité de la perception du moi, de l'Ego, un cadeau empoisonné qui a détruit l'unité primordiale des hommes mais aussi le climat doux et paradisiaque qui prévalait dans les terres du Nord. Voici donc une version plus réfrigérante de la chute du jardin d'Eden.

Selon Jocelyn Godwyn, dans son livre peu connu, confidentiel et polémique "Arktos", la base point 103 se trouverait aux limites du Cercle Polaire Arctique, dans le territoire canadien et non en Antarctique..

jeudi 8 novembre 2012

Sumériens et Annunaki

La vidéo ci-bas, complète les travaux rajoutés aujourd'hui dans la partie dossiers (civilisation).
La vidéo fait suite à "Les lunes, les Géants et l'Atlantide" (dossiers) qui explique l'évidence même de l'existence des géants, les preuves archéologiques (mégalithiques, squelettes ect...) qui prouvent qu'une race de géant a bel et bien existé, et qu'à une période tout était plus grand sur terre (animaux, insectes...), ce qui corrobore également les écrits de Helena Blavastky sur la race des géants du secondaire.
Vous pouvez ainsi voir que les recherches effectuées puis répertoriées dans dossiers, ont toutes des sources vérifiables et que loin du folklore il y a des choses en ce bas monde qui valent la peine qu'on s'y intéressent.

EUROPE IDENTITE

 
 

mardi 6 novembre 2012

lundi 5 novembre 2012

L'histoire du Vinland!

L’Amérique du nord n’a pas été découverte par Christophe Collomb. Outre les peuplades qui y sont parvenues par le détroit de Béring, le territoire où se situe actuellement Terre-Neuve, Boston, Providence, et New York a été foulé pour la première fois par un Européen lors de l’expédition dite « de l’Atlantique Nord » du Viking Leifr Eirikson vers l’an 1000 de notre ère.
Vinland, littéralement, signifie « pays de la Vigne ». Plus au nord, Leifr Eiriksson baptisa également le Markland, « pays des Forêts » (actuellement Terre-Neuve).



Que signifie Vinland ?
C’est le nom de la terre découverte par Leif, un fils d’Erik le Rouge, sur le continent américain vers l’an 1000. Parti du Groenland, où sa famille résidait, Leif s’est élancé vers l’ouest inconnu à la recherche de terres qu’un navigateur dérouté avait aperçues, sans les aborder, quelques années plus tôt. Leif y construira des baraques et y résidera, avec ses hommes, environ une année.
Vinland signifie Terre-des-Vignes en raison des vignes sauvages qui y poussent. Cette terre lui sembla si généreuse, avec son raisin, son bois, son gibier, ses saumons géants, ses céréales sauvages qu’il la surnomma Vinland le Bon. Autre sens possible, mais plus contestable : Terre-des-Prairies.
 
Qui était Erik le Rouge ?
On ne sait à peu près rien sur sa jeunesse. Il serait originaire d'une région agricole au sud-ouest de la Norvège (le Jaeren). Il pourrait tenir son nom de la couleur rousse de ses cheveux.
Parti d’Islande à la suite d’un bannissement de trois ans, il découvre une nouvelle terre plus à l’ouest. Désireux d’y installer une colonie, il a le génie de la baptiser « Terre-Verte » (Groenland dans sa langue) de façon à susciter l’enthousiasme des éleveurs en recherche de nouveaux pâturages. Il faut rappeler qu'au Xe siècle, le climat était plus doux qu'aujourd'hui et que cette appellation, malgré tout, avait un sens. A son apogée, cette colonie comptera jusqu’à 3 ou 4 000 personnes.
Banni d'Islande pour une affaire de sang, Erik le Rouge entreprend de naviguer vers l'ouest et découvre, vers l'an 982, une nouvelle terre. Il explorera la côte ouest, plus hospitalière, de cette île jusqu'alors inconnue. Souhaitant y créer une colonie, il la nommera opportunément "Terre verte" (Groenland dans sa langue). Dès son retour en Islande (après trois années, durée de son bannissement), il réussira à convaincre quelques centaines de colons à le suivre. Sur les 25 bateaux engagés, seuls 14 arriveront à bon port.
Cette colonie durera près de cinq siècles puis s'éteindra mystérieusement.
 
Où se trouve le Vinland ?
Les sagas racontent qu’on y pêchait du saumon, ce qui le place au nord d’une ligne traversant la Nouvelle-Angleterre (Etats-Unis). Mais elles précisent aussi qu’on y récoltait du raisin (*), ce qui le place au sud du fleuve Saint-Laurent (Québec). Le Vinland serait donc la région côtière située entre ces deux limites.
La seule trace archéologique laissée par les Vikings se trouve à L’Anse-aux-Meadows , un village de pêcheurs situé au nord de Terre-Neuve (Canada) mais, la vigne n’y poussant pas, ce serait plutôt une escale technique de réparation des bateaux que le mythique Vinland.
Même si de nombreuses hypothèses circulent, le Vinland tel que décrit dans les sagas n’a pas encore été formellement découvert à ce jour...
(*) Possiblement Vitis riparia (vigne des rivages), une espèce endémique en Amérique du Nord-Est.
 
Les Vikings étaient-ils les premiers Européens au Vinland ?
Ce sont en tout cas les premiers pour qui nous avons une preuve formelle, à la fois écrite et archéologique, de leur présence dans le Nouveau Monde.
 
Les Vikings ont-ils rencontré des Amérindiens au Vinland ?
Oui, à plusieurs reprises. Ils les ont surnommés les Skraelings, terme péjoratif signifiant « faible », « malingre ». A de rares exceptions près, où les deux peuples ont paisiblement pratiqué le troc, les contacts furent assez violents. Bien que mieux armés (ils disposaient d’armes en métal, contrairement aux Amérindiens), les Vikings furent rapidement submergés par le nombre. C’est l’une des principales raisons de l’échec de la colonisation du Vinland.
Compte tenu de la probable situation géographique du Vinland (Nouvelle-Angleterre aux Etats-Unis ou les provinces maritimes du Canada), il est possible que les Vikings aient rencontré les peuples Abénakis ou bien Micmacs, deux nations de langue algonquine.
 
Y a-t-il des descendants vikings au Vinland ?
C'est peu probable. D’après les sagas, les Vikings du Groenland y ont fait quatre incursions (mais probablement plus) de courte durée et n’ont pas eu de contacts prolongés avec les Amérindiens. Elles ne relatent en effet aucune union entre les deux peuples. La seule naissance mentionnée est celle du fils d'un chef viking et de son épouse islandaise, ce qui en fait le premier Européen né en Amérique. Mais, devant l’hostilité des Amérindiens, les Vikings n'ont pas fait souche et ont été contraints de retourner d'où ils venaient : le Groenland.
Que des Vikings aient pu s'installer là-bas après l'époque des sagas est possible mais aucun texte ni aucune étude génétique ne permet de l’affirmer avec certitude.
 
Source: La saga du Vinland
 

vendredi 2 novembre 2012

Le paganisme, vecteur d'identité en Europe!
 
En surfant sur divers sites nationalistes, j'ai pu constater par plusieurs articles, que le paganisme revient en force dans nos milieux.
Ce n'est pas le fruit du hasard, mais réellement la conviction de l'homme européen de revenir au sacré.
Mais pas n'importe quel sacré, le sacré de son identité, de ses racines propres à son sol et son sang!
Ci-bas j'ai mis des extraits d'articles trouvés sur la toile.
 
Hongrie : le retour en force du néo-paganisme

 
Les néo-païens sont de retour en Hongrie ! 
Cela illustre un renouveau identitaire plus profond et une contre-culture qui prend de l'ampleur.
Face au catholicisme romain imposé par la force il y a mille ans par le roi Szent-Istvan (Saint-Étienne), le paganisme est en train de renaître de ses cendres. De nombreux courants néo-païens se sont développés au cours de ces dernières années avec le dépoussiérage d’une histoire hongroise mythifiée et régulièrement célébrée dans des festivals. Il est fréquent de rencontrer l’aigle Turul ou le cerf merveilleux Csodaszarvas au détour d’un village, dont le nom sur le panneau est désormais écris en proto-hongrois (les runes hongroises), banni jadis par Saint-Étienne. Emese, Magor, Koppány, Álmos… ces prénoms issus de la mythologie hongroise sont très populaires. A tel point qu’il semble que la mythologie païenne et chamanique soit en train de devenir un élément symbolique de l’identité nationale.


Un pays « fondamentalement païen et en pleine crise identitaire »

Avec l'arrivée au pouvoir au moi de mai 2010 de la Fidesz et de son « éminence grise » - le parti chrétien-démocrate (KDNP) - la Hongrie actuelle se verrait bien en porte-étendard de la Chrétienté en Europe. En fait, comme l’explique l'historien des religions Attila Jakab, "la Hongrie est un pays chrétien seulement dans la rhétorique politique de la droite. En réalité c'est un pays frustré, en pleine crise identitaire, en quête effréné de soi, et fondamentalement païen". Il affirme aussi que "le fondement sociopolitique de ce néo-paganisme hongrois est constitué des frustrations et de l’inculture. Une bonne partie des Hongrois cherche à s’évader et à s’imaginer un passé glorieux, à rechercher le paradis perdu, car le présent est de plus en plus perçu comme invivable". Selon son analyse, habitués à la servitude pendant de longs siècles - le communisme couronnant le tout - les Hongrois sont toujours en attente d’une Moïse-Messie qui les conduirait dans le Canaan de l’abondance pour résoudre leurs problèmes, sans efforts ni sacrifices individuels en contrepartie.

« De même que l’univers des croyances du chamanisme a toujours fait partie de la culture hongroise, il semble que la mythologie chamanique se soit transformée en élément symbolique de l’identité nationale. », écrit pour sa part l’ethnologue Mihály Hoppál .


L’Eglise catholique sonne l’alarme

En 2009, la « Conférence Hongroise des Évêques Catholiques »  publiait une lettre qui a été lue dans toutes les églises et qui dénonçait le paganisme véhiculé par les divers courants de la droite extrême. « Il y a quelques années nous pensions que la sécularisation était pratiquement le seul danger. La mentalité de consommation, l’idole de l’hédonisme sont toujours présents chez notre peuple, mais aujourd’hui on assiste aussi à un renforcement du néo-paganisme », indiquait le communiqué. Le président de la « Fédération des Intellectuels Chrétiens » (KÉSZ), le très influent Evêque Zoltán Osztie, déclarait quant à lui que "le néo-paganisme comporte également un aspect anti-hongrois incarné par une certaine forme de radicalisme politique et surtout par le parti d’extrême-droite Jobbik".

Le professeur Attila Jakab explique aussi que "l’Église catholique en Hongrie est plutôt de type byzantin. Elle fut toujours une servante du pouvoir politique en contrepartie de privilèges et d’avantages matériels". En effet, bien que certains religieux aient courageusement tenu tête aux différentes dictatures – tels que le cardinal Mindszenty, célèbre opposant au régime communiste - force est de constater que la majorité d'entre eux n'a fait qu'obéir docilement au pouvoir en place. A présent, les Églises traditionnelles (catholique et protestante) sont "vides d’un point de vue spirituel et intellectuel. Elles n’ont plus les ressources humaines pour faire face au déferlement du néo-paganisme. D’autant plus, qu’une partie des prêtres et des pasteurs, théologiquement très mal formés (à une théologie datant du XIXe siècle), est aussi adepte ou sympathise avec ces idées néo-païennes".

Un mouvement porté par le parti Jobbik

Cette contre-culture rampante au sein de la société hongroise se manifeste à plusieurs niveaux. Une partie de la nébuleuse néo-païenne actuelle en Hongrie n’est pas politiquement marquée et se réclame plutôt proche d’un courant New Age, plus ou moins sectaire. Mais, comme le relève le sociologue des religions Miklós Tomka, la majorité des cultes païens se développent actuellement de paire avec une idéologie d'extrême-droite. Ils ont effectués leur grand retour dans l’espace publique avec le parti parlementaire Jobbik, le principal parti d’opposition à Viktor Orbán avec le parti socialiste.
L’opposition entre christianisme et paganisme trouve un débouché politique, comme l’explique Attila Jakab : "Le néo-paganisme est déjà un puissant facteur de division entre la droite traditionnelle - qui se définie comme chrétienne et bénéficie de l’appui des Eglises traditionnelles - et l’extrême-droite pour qui le christianisme redéfini est un décor rhétorique. Comme une partie de la droite traditionnelle peut basculer à tout moment vers l’extrême-droite, Viktor Orbán est contraint de jouer double-jeu : préserver les chrétiens traditionnels (de plus en plus fondamentalistes) et ménager les néo-païens". Mais l'opposition entre christianisme et paganisme n’entraîne pas un clivage politique absolu. La droite extrême se trouve elle-même divisée sur le sujet et, tout en se défendant d’être païen, Jobbik accuse la droite traditionnelle Fidesz de renier les racines de la culture hongroise en rejetant le paganisme.

Entre Erzsébet et Edit, deux femmes d’une soixantaine d’années habitant un petit village du nord du pays, la conversation est animée. La première soutient le parti socialiste (chassé du pouvoir en 2010) et se dit "scandalisée que n’importe qui puisse venir faire le clown dans un endroit comme le parlement hongrois".

"En quoi ce chamane (suite à un chamane venu au parlement) menaçait-il la Sainte-Couronne ?!", lui rétorque la seconde, à la fois fervente catholique et proche de Jobbik. Elle relativise la portée de ce mouvement néo-païen et, à l’en croire, si la société hongroise est réellement secouée de spasmes de paganisme, c’est inconscient. "La plupart des gens n’ont même jamais entendu parler des táltos [sorte de chamanes hongrois]. Ici les gens ne croient en rien", regrette-t-elle.

Ce néo-paganisme reste encore flou, si bien qu’il est plus juste de parler d'un syncrétisme composé d’éléments religieux – un chamanisme hongrois réinventé s’articulant avec un christianisme imaginé – et d’un élément d’ordre idéologique : l’antisémitisme. Car l’une des raisons de l'attrait des croyances païennes, c’est le rejet du judaïsme à travers celui du christianisme.

Pour une partie de la nébuleuse néo-païenne, le christianisme n’est qu’un avatar du judaïsme. Comme le proclame le site catholique d'extrême-droite « Regnum Sacrum », « Les adeptes du néo-paganisme considèrent le christianisme comme une secte juive qui est devenue religion universelle et qui a conquise et détruite l'Europe païenne en volant et en détournant ses fêtes et ses mythes. »
Malgré la volonté du gouvernement conservateur de faire du Christianisme le ciment de la nation hongroise, la résurgence d’un néo-paganisme mêlant croyances anciennes et fantasmées, nationalisme et antisémitisme apparaît comme un symptôme d’une société qui n’a pas encore digéré son histoire récente et à la recherche de repères identitaires. Comme l'a écrit le philosophe Alain : « Mais les dieux païens, aussi, croyez-vous qu'on puisse les mépriser ? Le catholicisme en porte l'empreinte, par ses Saints, ses chapelles et ses miracles... ».


Vincent Baumgartner et Corentin Léotard
Source: www.voxnr.com

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Entretien avec Gilbert Sincyr, auteur du livre Le Paganisme. Recours spirituel et identitaire de l’Europe (préface d’Alain de Benoist) par Fabrice Dutilleul


Votre livre Le Paganisme. Recours spirituel et identitaire de l’Europe est un succès. Pourtant ce thème peut paraître quelque peu « décalé » à notre époque.
 
Bien au contraire : si les églises se vident, ce n’est pas parce que l’homme a perdu le sens du sacré, c’est parce que l’Européen se sent mal à l’aise vis-à-vis d’une religion qui ne répond pas à sa sensibilité. L’Européen est un être qui aspire à la liberté et à la responsabilité. Or, lui répéter que son destin dépend du bon vouloir d’un Dieu étranger, que dès sa naissance il est marqué par le péché, et qu’il devra passer sa vie à demander le pardon de ses soi-disant fautes, n’est pas ce que l’on peut appeler être un adulte maître de son destin. Plus les populations sont évoluées, plus on constate leur rejet de l’approche monothéiste avec un Dieu responsable de tout ce qui est bon, mais jamais du mal ou de la souffrance, et devant qui il convient de se prosterner. Maintenant que l’Église n’a plus son pouvoir dominateur sur le peuple, on constate une évolution vers une aspiration à la liberté de l’esprit. C’est un chemin à rebours de la condamnation évangélique, originelle et perpétuelle.
 
Alors, qu’est-ce que le Paganisme ?
 
C’est d’abord un qualificatif choisi par l’Église pour désigner d’un mot l’ensemble des religions européennes, puisqu’à l’évidence elles reposaient sur des valeurs communes. C’est donc le terme qui englobe l’héritage spirituel et culturel des Indo-européens. Le Paganisme est une Vue du monde basée sur un sens du sacré, qui rejette le fatalisme. Il est fondé sur le sens de l’honneur et de la responsabilité de l’Homme, face aux évènements de la vie. Ce mental de combat s’est élaboré depuis le néolithique au fil de milliers d’années nous donnant une façon de penser, une attitude face au monde. Il est à l’opposé de l’assujettissement traditionnel moyen-oriental devant une force extérieure, la volonté divine, qui contrôle le destin de chacun. Ainsi donc, le Paganisme contient et exprime l’identité que se sont forgés les Européens, du néolithique à la révolution chrétienne.
Quand il y a invasion et submersion d’une civilisation par une autre, on appelle cela une colonisation. C’est ce qui s’est passé en Europe, contrainte souvent par la terreur, à changer de religion (souvenons-nous de la chasse aux idoles et aux sorcières, des destructions des temples anciens, des tortures et bûchers, tout cela bien sûr au nom de l’amour). Quand il y a rejet de cette colonisation, dans un but de recherche identitaire, on appelle cela une libération, ou une « Reconquista », comme on l’a dit de l’Espagne lors du reflux des Arabes. Et nous en sommes là, sauf qu’il ne s’agit pas de reflux, mais d’abandon de valeurs étrangères au profit d’un retour de notre identité spirituelle.
Convertis par la force, les Européens se libèrent. « Chassez le naturel et il revient au galop », dit-on, et voilà que notre identité refoulée nous revient à nouveau.
Débarrassés des miasmes du monothéisme totalitaire, les Européens retrouvent leur contact privilégié avec la nature. On reparle d’altérité plutôt que d’égalité, d’honneur plutôt que d’humilité, de responsabilité, de volonté, de défi, de diversité, d’identité, enfin de ce qui constitue notre héritage culturel, pourchassé, rejeté et condamné depuis deux mille ans.
 
S’agit-il alors d’une nouvelle guerre de religion ?
 
Pas du tout, évidemment. Les Européens doivent dépasser ce qui leur a été imposé et qui leur est étranger. Nous devons réunifier sacré et profane, c’est-à-dire réaffirmer que l’homme est un tout, que, de ce fait, il est le maître de son destin car il n’y a pas dichotomie entre corps et esprit. Les Européens ne doivent plus s’agenouiller pour implorer le pardon de fautes définies par une idéologie dictatoriale moyen-orientale. Ce n’est pas vers un retour du passé qu’il nous faut nous tourner, gardons-nous surtout d’une attitude passéiste, elle ne serait que folklore et compromission. Au contraire des religions monothéistes, sclérosées dans leurs livres intouchables, le Paganisme, comme une source jaillissante, doit se trouver de nouveaux chemins, de nouvelles expressions. À l’inverse des religions du livre, bloquées, incapables d’évoluer, dépassées et vieillissantes, le Paganisme est l’expression de la liberté de l’homme européen, dans son environnement naturel qu’il respecte. C’est une source de vie qui jaillit de nouveau en Europe, affirmant notre identité, et notre sens du sacré, pour un avenir de fierté, de liberté et de volonté, dans la modernité.
 
Le Paganisme. Recours spirituel et identitaire de l’Europe de Gilbert Sincyr, préface d’Alain de Benoist, éditions de L’Æncre, collection « Patrimoine des Religions », dirigée par Philippe Randa, 232 pages, 25 euros.
Source: 3ème voie et Alternatife
 
 
 

jeudi 1 novembre 2012

BURZUM :UMSKIPTAR


C'est avec un léger retard que je me suis procuré le dernier Burzum, Umskiptar.
On retrouve donc le nouvel univers du Comte Grishnackh depuis sa sortie de prison.
Effectivement, Belus, Fallen et Umskiptar change beaucoup des anciens albums de Burzum ce qui a eu le don d'enerver la communauté Black metalleux qui s'est offusqués et ont protesté sur les forums BM avec des arguments négatifs:
"morceaux trop long, morceaux trop lent, album emmerdant pour certains, Varg devenu sénile pour d'autres ect..."
En fait la réalité est plus complexe, Varg Vikernes a tout simplement mûri et travaille sur le spirituel plus en profondeur.
Pour ma part, le dernier Burzum est une véritable tuerie!
Quand on tente de se mettre à la place de Varg et qu'on écoute cet album avec le côté spirituel qu'il a mit, on voit très bien là où il veut en venir.
Le problème quand on change soudain de style dans la scène black métal c'est qu'on a affaire aux insultes et aux reproches dû à l'incompréhension de l'univers de l'artiste!
Les trois derniers albums de Burzum sont l'élévation spirituelle de Varg Vikernes, Umskiptar signifie d'ailleurs métamorphose en vieux Norrois.

Revenons sur le personnage, Varg "Le comte Grishnackh" Vikernes n'a jamais essayé de plaire aux gens, il a toujours suivi la ligne qu'il s'était fixé, sa destiné!
Il est devenu l'icone d'un mouvement grâce à sa personnalité, personnalité retransmise dans sa musique.
Burzum c'est Varg, le nouveau Burzum c'est le nouveau Varg, et sa pas beaucoup le comprennent.
Varg est un personnage comme on peut en voir dans les sagas Nordiques, complexe, solitaire, mystérieux...
Il a sa doctrine et a du talent aussi bien dans la musique que dans l'écriture avec notamment ses célébres Vargsmàl, Germansk mytologi og verdensanskuelse et Irminsûl (ses trois oeuvres littéraires).
Il aime son pays et la nature, vivant en pleine osmose avec elle dans sa ferme de Telemark en Norvège.
Varg se fait connaître notamment par ses prises de positions politique et pour sa critique du christianisme (il incendie d'ailleurs plusieurs église en Norvège).
En 1993 il assassine Oystein Aarseth, membre du groupe Mayhem car il était communiste homosexuel ce qui lui vaut la peine la plus lourde de Norvège soit 21 ans de prison.
Il est finalement libéré après 16 années de détention le 11 mai 2009.
C'est un de nos plus célèbre adepte de l'Asatrù, il ne le salit pas au contraire de beaucoup d'ignorants se revendiquant Asatruàr!
Il a oeuvré à la fondation de plusieurs associations païenne, et rend service à la mémoire grâce à sa musique qui représente bien notre spiritualité, c'est en quelque sorte un "membre d'honneur" de la communauté Asatrù.
Pendant son incarcération, Varg devient National-socialiste mais il ne se catégorise plus comme cela aujourd'hui car le national-socialisme de base catégorise les slaves comme untermenschen et que lui respecte leur culture, de plus il ne se considére pas socialiste (ni même au point de vue national), il n'est pas (comme tout asatruàr) matérialiste et il croit en l'ancienne démocratie Norvégienne, cependant il croit aux théories raciales (exepté pour les slaves) du mouvement NS, et veut l'hégémonie racial blanche en Europe.
A sa sortie de prison, Varg se distancie peu à peu du black métal et se distance radicalement de toutes les formes du rock'n'roll en précisant que les racines du rock sont afro-américaines et que sa n'a rien avoir avec les blancs!
En 2010 Burzum reviens avec un style nouveau, l'album Belus qui est un autre nom du dieu Baldr.
En 2011 fallen fait son apparition et en 2012 Umskiptar, la renaissance de Vikernes, le retour aux sources comme il le dit parfaitement.
La musique de Varg est beaucoup plus complexe qu'un simple groupe de BM, Burzum c'est spirituelle, c'est un état d'esprit, Burzum c'est l'Asatrù!
L'influence nordique, loin de l'occultisme à deux balles de beaucoup, cet atmosphère dans le nouveau burzum est remplis d'émotions à qui veut seulement le comprendre et le ressentir.
Pour reprendre une bonne critique (rare!):
"Umskiptar c'est l'aboutissement de la renaissance sous l'oeil avisé d'Odin, 1h de traversée de sombres paysages Norvègiens où la misanthropie tout comme la plus pure beauté s'entrelacent pour enivrer le voyageur adepte des choses qui ne sont pas encore en ce bas monde galvaudées. Avec comme point d'orgue l'amour du passé où les légendes ont su résister à tous les moyens d'expression et d'opression."
Umskiptar est un album chanté en ancien Norvègien (vieux Norrois), ce qui fait que Varg retourne totalement aux sources!
Encore une fois, il ne cherche pas à plaire, il chante la magnifique langue de son peuple, et nous conte des récits nordiques tel des sagas de se peuple Scandinave qu'un Régis Boyer nous fait découvrir dans des oeuvres, où que l'ont connaît à travers les eddas, l'Havamàl et à travers nos Dieux!

 Belus dod (la mort de belus)

Dans l'arbre se hisse le sorcier
Trouve l'antique douleur du monde,
La fait tomber en paix dans l'automne,
D'un ciseau son coeur il a coupé.

Les feuilles du chêne dégringolent,
Le sorcier, appelent les esprits!
Les fânes du chêne sur le sol,
Le magicien dit sa sorcellerie!

Loeken se couche dans du lin,
La quintessence du chêne sacrée.
La paix du monde assure le sorcier;
La fertilité, la puissance du soleil dans la main!

Les feuilles du chêne dégringolent,
Le sorcier, appelent les esprits!
Les fanes du chêne sur le sol,
Le magicien dit sa sorcellerie!

La force du soleil voici;
La mer fertile de la Terre;
Dans le puissant bâton du soricer;
Dans la baguette hantée du roi.